Proverbe/citation
du jour
« Le concept de masculinité toxique est utilisé en
psychologie et dans les études sur le genre en référence à
certaines normes du comportement masculin en Amérique du Nord et en
Europe qui sont associées à un impact négatif sur la société et
sur les hommes eux-mêmes. »-
Wikipedia
Hommes trans, masculinité toxique et avenir
Dans un article d’un magazine français appelé « ChEEk »,
on pose la question suivante «
Les
hommes trans sont-ils l’avenir de la masculinité non toxique? »,
avec comme préambule : « Et si les hommes trans, par leur
expérience du sexisme et du patriarcat, étaient les personnes les
plus à même de déconstruire les codes de masculinité toxique? »
Si vous ne le savez pas déjà, la « masculinité toxique »,
c’est, selon
Wikipédia :
Le concept de masculinité toxique est utilisé en psychologie et
dans les études sur le genre en référence à certaines normes du
comportement masculin en Amérique du Nord et en Europe qui sont
associées à un impact négatif sur la société et sur les hommes
eux-mêmes. Les stéréotypes traditionnels dépeignant les hommes
comme socialement dominants, accompagnés de traits liés comme la
misogynie et l'homophobie, peuvent être considérés[Par qui ?]
comme « toxiques » en raison de leur promotion de la violence,
incluant l'agression sexuelle et la violence domestique[réf.
Nécessaire].
Ouf! On en est rendu à un point où il y en a qui souhaitent que ce
soit des transgenres qui déterminent ce qu’est la masculinité...
Je le répète régulièrement : je suis pour la liberté
d’expression, et comme l’a dit George Orwell, “If liberty means
anything at all, it means the right to tell people what they do not
want to hear.” Cela vaut autant pour les auteurs d’articles de
chEEk que pour tout le reste du monde.
Idem en ce qui concerne les
préférences sexuelles, puisque je crois que ni l’État, ni
d’autres individus, ne doivent empêcher des adultes consentants et
suffisamment éclairés de mener leur sexualité comme bon leur
semble.
Je ne suis pas certain du tout que nos bons "progressistes" sauraient faire preuve d'autant d'indulgence à mon endroit que je suis disposé à le faire envers eux.
Cisgenre que je suis (encore un autre mot du charabia des "progressistes" celui-là, autrement dit, ça veut dire que je considère mon genre comme étant le même que celui que j’avais biologiquement à ma naissance, c’est le contraire de « transgenre »), je considère que cet article est un ramassis de conneries.
Il est facile de cracher sur le "patriarcat" ou de dénoncer la "masculinité toxique", mais il faudrait que les personnes qui agissent dans ce sens se rappellent que la civilisation qui les entoure a été presque qu'entièrement construite par les efforts et les combats de générations d'hommes sur lesquels tout le monde s'acharne aujourd'hui, à savoir des mâles hétéros de souche chrétienne.