Proverbe/citation
du jour
«Qui se venge en secret, en secret en fait gloire.» -Pierre
Corneille
Savoir accepter la critique à titre de personnalité publique
C'est en lisant un texte de Roger Boudreau, du journal L'Avantage, que me vient l'idée de m'arrêter à la question de la critique des personnalités publiques. Le texte, "Je l’aime mon « Kid Kodak », il est influent!" semble indiquer que le principal intéressé, le ministre délégué au Tourisme, Pascal Bérubé, n'apprécie guère les remarques négatives à son endroit.
Se pourrait-il qu'au lieu de faire face lui même à la musique, le politicien préfère se servir indirectement du journal pour faire passer un message?
Je note que dans son texte, monsieur Boudreau, un journaliste que j'aime bien lire, écrit :
Il est vrai que l’Avantage accepte les pseudonymes comme « signatures », ouvrant la porte aux flagorneurs comme aux « tireurs d’élite ».
Soit dit en passant, traiter de voleur un individu sous le couvert de l’anonymat peut attirer à son auteur une poursuite au civil.
Est-ce que quelqu'un ici tente de lancer un message voilé pour faire taire certaines personnes? Chose sûre, en ce qui me concerne, je ne me sens pas visé, parce que personne ne peut dire que je me cache pour écrire dans L'Avantage, ni sur d'autres sites comme celui de Radio-Canada, et à ce que je sache, mes commentaires aussi acerbes soient-ils, ne sont pas injurieux...
Enfin...
Quand on accepte de vivre sous les projecteurs, à titre de personnalité publique, que ce soit comme homme d'affaire influent, comme joueur de hockey professionnel, comme animateur radio, comme blogueur ou bien comme politicien par exemple, il faut savoir accepter à la fois le bon et le mauvais qui vient avec le tout. Il faut s'attendre à ce que nos actions, nos prises de positions, créent de l'enchantement chez certains, de l'indifférence chez d'autres, mais aussi des critiques négatives, voire même du mépris, auprès de personnes qui ne partagent pas notre avis.
Comment réagir face à tout cela?
Lorsqu'elles font l'objet de critique qui ne font pas leur affaire, nombre de personnalités publiques laissent le tout couler, comme sur le dos d'un canard. Comme le dit un vieux proverbe arabe, "les chiens aboient, la caravane passe." Rappelez-vous toutes les attaques dégradantes lancées à l'endroit de Jean Charest par exemple, l'avez-vous entendu souvent se plaindre de la situation?
D'autres, tellement sensibles relativement à leur propre image, sont vite irritées par des commentaires qui ne les flattent pas dans le bon sens du poil, et réagissent en conséquent, faisant parfois colporter leur mécontentement par d'autres via les médias, allant même parfois jusqu'à agir par en arrière pour faire disparaître un article défavorable d'un journal ou même faire perdre son poste à un représentant des médias qui ne joue même pas dans la libelle, parce qu'ils ne peuvent tolérer la critique.
Si une personnalité publique est incapable de tolérer de saines critiques à son endroit, elle n'a pas sa place là où elle est. N'hésitez pas à le faire savoir à la personne concernée si vous jugez adéquat de le faire!
Se pourrait-il qu'au lieu de faire face lui même à la musique, le politicien préfère se servir indirectement du journal pour faire passer un message?
Je note que dans son texte, monsieur Boudreau, un journaliste que j'aime bien lire, écrit :
Il est vrai que l’Avantage accepte les pseudonymes comme « signatures », ouvrant la porte aux flagorneurs comme aux « tireurs d’élite ».
Soit dit en passant, traiter de voleur un individu sous le couvert de l’anonymat peut attirer à son auteur une poursuite au civil.
Est-ce que quelqu'un ici tente de lancer un message voilé pour faire taire certaines personnes? Chose sûre, en ce qui me concerne, je ne me sens pas visé, parce que personne ne peut dire que je me cache pour écrire dans L'Avantage, ni sur d'autres sites comme celui de Radio-Canada, et à ce que je sache, mes commentaires aussi acerbes soient-ils, ne sont pas injurieux...
Enfin...
Quand on accepte de vivre sous les projecteurs, à titre de personnalité publique, que ce soit comme homme d'affaire influent, comme joueur de hockey professionnel, comme animateur radio, comme blogueur ou bien comme politicien par exemple, il faut savoir accepter à la fois le bon et le mauvais qui vient avec le tout. Il faut s'attendre à ce que nos actions, nos prises de positions, créent de l'enchantement chez certains, de l'indifférence chez d'autres, mais aussi des critiques négatives, voire même du mépris, auprès de personnes qui ne partagent pas notre avis.
Comment réagir face à tout cela?
Lorsqu'elles font l'objet de critique qui ne font pas leur affaire, nombre de personnalités publiques laissent le tout couler, comme sur le dos d'un canard. Comme le dit un vieux proverbe arabe, "les chiens aboient, la caravane passe." Rappelez-vous toutes les attaques dégradantes lancées à l'endroit de Jean Charest par exemple, l'avez-vous entendu souvent se plaindre de la situation?
D'autres, tellement sensibles relativement à leur propre image, sont vite irritées par des commentaires qui ne les flattent pas dans le bon sens du poil, et réagissent en conséquent, faisant parfois colporter leur mécontentement par d'autres via les médias, allant même parfois jusqu'à agir par en arrière pour faire disparaître un article défavorable d'un journal ou même faire perdre son poste à un représentant des médias qui ne joue même pas dans la libelle, parce qu'ils ne peuvent tolérer la critique.
Si une personnalité publique est incapable de tolérer de saines critiques à son endroit, elle n'a pas sa place là où elle est. N'hésitez pas à le faire savoir à la personne concernée si vous jugez adéquat de le faire!
Finalement, je crois aussi bon de vous rappeler que cette "liberté d'expression" qu'on dit présente au Québec est bien moins grande que vous ne pouvez le croire. En fait, on a le droit de dire ce qu'on pense, même si on pense le contraire des autres, mais on peut uniquement le faire jusqu'à ce que ça commence à déranger des personnes influentes, et à partir de là "Watch out!!!"
Pour plus de détails :
www.lavantage.qc.ca/l-envers-de-la-medaille/14-08-2013-je-l-aime-mon-kid-kodak-il-est-influent
Documentaire
du jour : «CIA Secret
Experiments»
Le documentaire «CIA Secret Experiments», réalisé par National
Geographic, porte sur diverses expériences de l'agence, de
simulations de guerre bactériologique réalisées dans le réseau de
métro de New York au début des années 1950 à l'expérimentation
de drogues et d'hypnose pour créer un tueur parfait qui ne pourrait
ensuite se souvenir du meurtre commis, la principale victime visée
étant Fidel Castro.
https://www.youtube.com/watch?v=Fjc29dqejvE |
Le gouvernement américain a mené diverses expériences, en
collaboration avec le Canada et le Royaume-Uni, afin de mieux
comprendre le contrôle de l'esprit humain. Certaines de ces
expériences ont d'ailleurs eu lieu au Nord de la frontière, dans un
hôpital psychiatrique canadien. Des Noirs traités pour l'abus
d’héroïne, de même des gangsters visitant des prostituées, ont
été utilisés comme cobayes sans même le savoir.
Il y est aussi question du meurtre de Robert Kennedy, en 1968. Est-ce
que le tueur était un « Manchurian Candidate » comme le
croient certains adeptes des théories du complot?
Le documentaire porte aussi sur Frank Olson, un scientifique qui
oeuvrait pour l'agence et qui est mort en sautant par la fenêtre
d'une chambre d'hôtel en 1953. Officiellement, l'incident a été
décrit comme étant un suicide, mais de forts doutes subsistent. Il
aurait pu être éliminé car il éprouvait peut-être des problèmes
de conscience quant à son implication dans ces études. On croit
qu'il aurait été drogué au LSD quelques jours avant son décès,
et une seconde autopsie sur son corps, exhumé durant les années
1990, a permis de découvrir des faussetés dans le rapport original
portant sur l'accident.
La mort d'Olson a par ailleurs servi d'inspiration pour une scène du
film « The Good Sheperd » (2006), où un transfuge du
KGB, drogué lors d'un interrogatoire, se tue en se jetant par une
fenêtre.
Pour plus de détails :
Photo
du jour
« Shore », une photo prise en avril 2013 à
Sainte-Anne-des-Monts.
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