Proverbe/citation
du jour
«Vingt ans est l'âge de l'illusion. Quarante ans, l'âge de la
vérité. Non seulement des vérités découlant de la vie surtout de
la vérité de ce qu'on est.» -Paul Perreault
Que pense Gaétan Lelièvre de ce qui suit?
Je serais bien curieux de savoir ce que le député de Gaspé, Gaétan
Lelièvre, pense du tableau qui suit, produit par le PLQ :
En Gaspésie, le taux de chômage était de 11,5% en 2012, alors que
les Libéraux étaient au pouvoir. Ce taux est passé à 15,8% en
juillet 2013, un an plus tard.
Un an de règne péquiste et c'est déjà un désastre. Pouvez-vous
imaginer trois ou quatre autres années sous un tel régime?
Si vous croisez Gaétan Lelièvre, qui est ministre délégué aux
régions, qu'on se le rappelle, ou n'importe lequel autre député
péquiste de l'Est du Québec, vous pouvez le lui rappeler, comme
vous pouvez lui rappeler la promesse de son parti d'éliminer la taxe
santé, une autre promesse non tenue.
Loin de moi l'idée de penser que le PLQ est la solution au problème,
je crois au contraire qu'aucun des grands partis, même la CAQ, n'a
la solution à nos problèmes d'emploi. Vivement que de petits
partis, comme le Parti conservateur du Québec, interviennent dans le
débat pour amener d'autres solutions sur le tapis.
Pour plus de détails :
Pascal
Bérubé sent-il la soupe qui chauffe?
Pascal Bérubé sent-il la soupe qui chauffe? Hier encore, un article
à son sujet est apparu sur le site de l'hebdomadaire L'Avantage.
Intitulé « Pascal Bérubé généreux pour Mont-Joli »,
le texte rapporte que le député de Matane-Matapédia a remis une
enveloppe « brune » mais une enveloppe « propre »
au maire de Mont-Joli, Jean Bélanger.
Quelles
sont ces sommes? 5 000$ pour la Fresqu'O Fête, 1 500 $
pour le Parc du Ruisseau Lebrun et 20 000 $ pour l’avenue
Sanatorium. Le texte de Roger Boudreau rapporte que le maire Jean
Bélanger aurait lancé «Un bon commencement», et on mentionne
qu'il voue beaucoup d’admiration au jeune ministre... Généreux
Bérubé? Bien sûr, mais une fois encore avec l'argent des autres.
Peut-on appeler ça de la générosité de Bérubé, ou bien une
générosité provenant des contribuables?
Une telle réaction de Pascal Bérubé, à l'endroit d'un maire connu
pour son allégeance libérale, doit-elle nous surprendre, à un
moment où il devient de plus en plus évident que le député-ministre
cherche à faire du "damage control" parce que les
personnes émettant ouvertement des commentaires négatifs à son
endroit se font de plus en plus nombreuses?
Pour plus de détails :
«Les primes me dépriment»
Bien que sur la question de la souveraineté du Québec, Nestor
Turcotte et moi sommes aux antipodes l'un de l'autre, j'avoue avoir
de l'admiration pour ce fervent indépendantiste, qui a durant des
années enseigné la philosophie au Cégep de Matane. Nous n'avons
pas souvent eu la chance de jaser de vive voix, mais chaque
discussion a toujours été intéressante, tout comme le sont chacun
de ses textes d'opinion qu'il écrit pour divers médias.
Monsieur Turcotte a récemment écrit pour La Presse, un texte à
propos des primes de départ des députés, intitulé «Les primes me
dépriment». Son texte est reproduit ici bas, de même que l'adresse
de la page Web où se trouve l'original. Je vous invite à le lire. Que pensent les députés de notre région de ces primes?
«Les primes me dépriment»
Lorsqu'un
élu quitte la politique, les lois prévoient de le récompenser lors
de son départ. Le citoyen ordinaire, lorsqu'il quitte un emploi ou
le perd, n'est jamais indemnisé. Ceux qui font les lois se protègent
avant de partir; ceux qui doivent obéir aux lois ne sont aucunement
protégés lorsqu'ils abandonnent leur emploi, lorsqu'ils le perdent
ou lorsqu'ils sont congédiés.
Le
dernier cas en lice est celui du député libéral de Viau, Emmanuel
Dubourg. Il quitte la politique provinciale en désirant oeuvrer sur
la scène fédérale. Le ministre Drainville s'en scandalise. Il n'a
qu'à regarder dans sa propre cour pour voir que sa formation
politique applique exactement les mêmes règles que le député
partant de la région de Montréal.
Lorsque
Pauline Marois a quitté la politique en 2006, trouvant que le goût
n'y était plus, elle a touché une prime de 128 000$. Claude
Blanchet, PDG de la Société générale de financement et mari de
Pauline Marois, a reçu une indemnité de départ de près de
300 000$ plus une rente de retraite annuelle à vie de 80 000$.
Lisez bien: à vie.
Le
député péquiste Rosaire Bertrand a touché une somme importante
pour céder sa place à Pauline Marois afin qu'elle se fasse élire
dans la circonscription de Charlevoix. Son geste a permis à
l'actuelle première ministre de se faire élire dans une élection
partielle le 24 septembre 2007. Qui a payé pour ce tour de
passe-passe? Les contribuables.
Quand
André Boisclair, chef du PQ, a quitté de son propre chef la tête
de son parti, il a obtenu du gouvernement actuel le poste de délégué
du Québec à New York avec un salaire de base de 170 000$ par
année et tous les avantages accolés à un tel poste, plus une
substantielle indemnité de départ.
La
meilleure? Nicole Léger. Elle annonce son retrait de la politique le
7 mars 2006 et retourne travailler aux ressources humaines et
communications de Léger marketing. Indemnité de départ, il va sans
dire. L'année suivante, le 9 décembre 2007, elle est désignée
candidate officielle en vue d'une élection partielle dans la
circonscription de Pointe-aux-Trembles. Elle remporte la victoire le
18 mai 2008. Elle est maintenant ministre de la Famille.
François
Legault, chef de la Coalition avenir Québec, a reçu une indemnité
de départ de 128 000$ en quittant le PQ en 2009. Depuis, il est
devenu le chef de la deuxième opposition à l'Assemblée nationale.
Les
libéraux ne font que continuer ce que la majorité des députés
font pour s'assurer une vie décente après leur petit tour de scène
en politique.
Le
ministre Drainville a raison: il faut couper ces allocations
faramineuses et, surtout, limiter le mandat de député à deux
termes. Cela devrait être voté rapidement et s'appliquer au
prochain scrutin.
Nestor Turcotte
L'auteur est un retraité de l'enseignement au collégial. Il
réside à Matane.
Pour plus de détails :
Un robot militaire |
De bombes nucléaires perdues mais jamais retrouvées à la fameuse
Zone 51, où on teste des avions furtifs hypersoniques, en passant
par un centre de formation de la marine américaine où des dauphins
sont entraînés à indiquer la présence de bombes et même tuer des
plongeurs ennemis, ce documentaire vous permettra de découvrir des
secrets militaires qui en fait n'en sont plus désormais!
Pour plus de détails :
Photo
du jour
Le coucher du Soleil, le 16 août 2013, près de la sortie est de
Sainte-Anne-des-Monts. Je ne suis pas un fan de Madonna mais je
sifflotais "Ray of Light" en prenant cette photo!
P.A.
RépondreSupprimerVotre photo sans lunettes... C'est pour quand ?