Proverbe/citation
du jour
«Face à l'idiotie planétaire, le plus grand ennemi sur lequel bute
l'intelligence : la loi du nombre.» -Alain Couteau
100
000
Selon toute vraisemblance, ce blog va accueillir son 100 000e
visiteur avant la fin de la présente journée.
Depuis le 5 décembre 2011, j'y ai consacré beaucoup de temps et
d'efforts, alors c'est avec une immense satisfaction que je vous
remercie de le visiter, en vous rappelant une fois de plus que vos
suggestions et vos commentaires sont toujours les bienvenus.
Et
si c'était des opposants au registre québécois des armes à feu
qui occupaient des bureaux de députés?
Hier, des militants opposés aux modifications au régime d'assurance
sociale annoncé par le gouvernement Marois ont occupé les bureaux
de députés péquistes, c'était la quatrième occupation du genre
depuis vendredi dernier.
Une trentaine de manifestants ont occupé le bureau de la députée
de Hochelaga-Maisonneuve, Carole Poirier. Le personnel sur place et
la la députée sont demeurés, malgré le vacarme produit par les
intrus, qui mis à part le bruit n'ont pas causé d'autre grabuge.
La police n'a pas été appelée, même si pendant que la députée
répondait à la presse, on pouvait entendre des manifestants crier
des slogans comme celui la traitant de « complice en crisse »
d'une Agnès Maltais « menteuse ».
Carole Poirier a aussi déclaré que le bureau est ouvert au public
et qu'elle entend tolérer la présence de militants de tous âges,
peu importe la durée de leur siège, même si cela rend son bureau
inaccessible au public.
Maintenant, demandons-nous si, au
lieu de manifestants contre les coupures à l'aide sociale, c'était
des chasseurs et autres propriétaires d'armes à feu qui occupaient
ces mêmes bureaux. Croyez-vous que les députés seraient aussi
indulgents à leur endroit?
Y a-t-il des propriétaires d'armes
à feu québécois intéressés à occuper un bureau de
circonscription d'un député de chaque parti représenté à
l'Assemblée nationale, puisqu'aucun ne supporte les chasseurs dans
leurs revendications?
Pour plus de détails :
Un
député et sa cravate
Pascal Bérubé, le député de Matane-Matapédia, aime bien
présenter aux citoyens qui le suivent via Internet des photos
démontrant qu'il est à l'écoute du peuple malgré son horaire fort
chargé, un emploi du temps si chargé qu'il doit s'arrêter le long
de la route pour mettre sa cravate, mais il prend quand même
quelques instants pour afficher une photo, qui est « aimée »
par 268 « Facebookers » à ce que je peux voir :
Sur sa
page Facebook, on peut aussi le voir en compagnie du chanteur Enrico
Macias, ou bien apercevoir une bouteille de Laurentide consommée
lors d'une rencontre avec d'autres députés le 10 avril dernier :
Dommage!
Le contribuable haut-gaspésien que je suis aimerait bien mieux voir
ce même député-ministre photographié au côté d'un investisseur
privé qui amène de l'argent neuf, pas des subventions, dans son
coin de pays, et il aimerait tout autant voir ce même
député-ministre photographié en compagnie d'un médecin pour qui
une rencontre avec celui qui se surnommait lui-même le
« député-recruteur » a été significative pour son
établissement en Haute-Gaspésie. Malgré plusieurs campagnes du
genre, à ma connaissance, aucun médecin supplémentaire ne s'est
ajouté au CSSS de la Haute-Gaspésie grâce à ses actions.
Auriez-vous
des photographies plus pertinentes et significatives à nous
présenter que celles que vous affichez monsieur Bérubé??? Mis à part bien des photos, qu'avez-vous produit, sinon un peu de vent pour activer les éoliennes?
Une famille de Boston décimée
La famille Richard, décimée au marathon de Boston : Martin, à droite, a été tué dans l'explosion, sa petite soeur a subi une amputation et son frère plus vieux s'en est sorti indemne, tandis que la mère a subi des lésions cérébrales. La famille attendait le père à la ligne d'arrivée pour le féliciter.
Une famille de Boston décimée
La famille Richard, décimée au marathon de Boston : Martin, à droite, a été tué dans l'explosion, sa petite soeur a subi une amputation et son frère plus vieux s'en est sorti indemne, tandis que la mère a subi des lésions cérébrales. La famille attendait le père à la ligne d'arrivée pour le féliciter.
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