Proverbe/citation
du jour
«Pour que la matière
ait tant de pouvoir, il faut qu'elle contienne un esprit.» -Flaubert
(Gustave)
Un bronzage à la
Dixie Lee
Le
bronzage, comme le maquillage, peut améliorer l'apparence d'une
personne, mais comme dans le cas de l'alcool, la modération a bien
meilleur goût comme le disait un vieux message publicitaire.
Une
mère de 44 ans du New Jersey, Patricia Krentcil, a été accusée
d'avoir mis un enfant en danger car la loi de l'État stipule qu'il
est illégal pour un enfant de moins de 14 ans de fréquenter un
salon de bronzage. Elle y a amené sa fille... de cinq ans!!!
La
dame dit qu'il y a eu malentendu parce que sa fille aurait selon elle
subit un coup de soleil « normal » en jouant à
l'extérieur. Le père de la petite, appelé Rich, aurait mal compris
en indiquant à un professeur que la petite «était allée se faire
bronzer avec maman.» Ce sont les autorités scolaires qui ont porté
plainte.
Semble-t-il
que la fillette aurait effectivement été au salon de bronzage avec
maman, mais qu'elle n'aurait pas subi le traitement dans une cabine.
Voici la petite et sa maman :
Ouf!!!
La dame ressemble à un morceau de poulet Dixie Lee (une chaîne
similaire à PFK et populaire en Gaspésie pour ceux et celles qui
comprennent mal ma comparaison!)
La
dame est probablement l'équivalent féminin d'un douchebag. Mes mots
crus peuvent ici choquer, mais je vais reprendre ici l'expression
d'une amie, Audrey, qui m'a dit qu'en voyant un jour un dame aussi
«flambée» accompagnant un douchebag, elle l'a immédiatement
décrite comme étant une «plo**e toastée»!!!
Quand on en est rendu à se faire flamber de la sorte, il faut supposer qu'il n'y a pas que des problèmes de santé au niveau de la peau, mais également quelques part entre les deux oreilles!
Vous
pouvez voir Patricia Krentcil dans un vidéo accessible sur YouTube
en suivant le lien ici bas.
Pour
plus de détails :
«Maudites piasses
en plastique»
Alors
que la Banque du Canada annonce qu'à partir de novembre prochain,
les billets de 20$ présenteront une nouvelle image de la Reine sur
un billet en polymère, et que les coupures de 5$ et de 10$ subiront
le même traitement en 2013, nous pouvons nous attendre à ce que les
plaintes des gens en lien avec les nouvelles coupures aillent en
augmentant.
En
jasant avec des locataires tout en faisant ma tournée de logements
pour la collecte des loyers du mois de mai cette semaine et et en
demandant l'avis des caissières à la banque locale lors de dépôts,
j'ai constaté de visu que les billets de 50$ et de 100$ en polymère
qui sont déjà en circulation font pester leurs utilisateurs, qui
trouvent difficile de les plier pour les placer dans leur
portefeuille ou de les compter et les séparer lors de leur
utilisation parce qu'ils ont tendance à se coller ensemble. Une dame
toute dépitée m'a confié avec certitude qu'elle aurait perdu 50$
de sa précieuse pension parce que deux billets seraient resté
soudés l'un à l'autre lorsqu'elle faisait ses emplettes.
Les
nouvelles coupures ont beau avoir plusieurs avantages (elles sont
plus durables et plus difficiles à copier pour les faussaires) mais
elles provoquent aussi des désagréments.
Le métro de New
York dans les années 1940
Les
images qui suivent, prises dans le métro new yorkais, font partie
d'une série réalisée par un jeune photographe appelé Stanley
Kubrick pour le magazine LOOK en
1946. Le jeune homme, qui ne se doutait certainement pas du tout
qu'un jour il deviendrait un grand réalisateur, avait pour mission
de capturer en images le quotidien des passagers du métro. À l'aide
d'une caméra cachée, il s'est lancé à l'aventure!
On
dit qu'une image vaut mille mots. Si vous observez avec un peu
d'attention, vous remarquerez combien les temps ont changé. Par
exemple :
- Les hommes ne cédaient peut-être pas toujours les places assises aux femmes, mais cela semblait plus fréquent que de nos jours
- L'habillement des gens était plus uniforme et plus soigné (pas de t-shirts ni de jeans!)
- Il n'y avait pas de téléphones intelligents et les journaux étaient plus courants
- La proportion d'obèses étaient moins importante qu'aujourd'hui
Si
d'autres détails attirent votre attention, n'hésitez pas à
commenter sur le sujet!
Ces
photos, de même que plusieurs autres, font partie d'une exposition
nommée «Willing To Be Lucky: Ambitious New Yorkers in the
Pages of LOOK Magazine», présentée par le musée de la ville de
New York.
Pour
plus de détails et d'autres photographies :
«Maudites piasses en plastique»
RépondreSupprimerComme dans toutes choses, il y a des pour et des contres. Si les billets cherche à rester coller ensemble quand ils sont neuf, alors esperons qu'il en sera ainsi au gichet automatique. :P Cependant, farce à part, en australier ils ont déja ce genre de billet et ils semble bien se débrouiller. Faut juste s'adapter ;)