Proverbe/citation
du jour
« Those
who would give up essential Liberty, to purchase a little temporary
Safety, deserve neither Liberty nor Safety. »-Benjamin Franklin
Trois facteurs qui expliquent pourquoi nous ne pouvons pas
faire confiance aux médias de masse
Il y a de cela trois ans, jour pour jour, je découvrais, en me
rendant à Cap-Chat pour remettre à Pierre Karl Péladeau une copie
de la décision de l’arbitre dans le dossier concernant mon
congédiement du FM 100,3 à Sainte-Anne-des-Monts, jugement dans
lequel il était démontré que le lieutenant de campagne de PKP,
Pascal Bérubé, avait menacé mon employeur et que c’était
l’unique cause de mon renvoi injustifié, que la chef de bureau de
Bérubé, Marcelline Gauthier, avait demandé à la SQ de me
surveiller. La police m’a empêché d’entrer sur les lieux de
cette rencontre sous prétexte que je n’étais pas membre du parti,
alors que ladite rencontre était publique. Vous
aurez les détails ici.
Je tiens surtout à souligner qu’une semaine plus tard, Johanne
Fournier, une journaliste du Soleil qui était déjà au courant de
l’histoire me concernant, a préféré jouer dans le sensationnel
en laissant de côté le fait que je ne faisait que m’exprimer à
titre de représentant des médias lésés pour plutôt me faire
passer pour un danger pour la société, ce qui a mené beaucoup de
gens à croire que je suis allé à Cap-Chat armé d’un .357
Magnum. Je pourrais revenir en détails sur le sujet, mais je l’ai
déjà fait dans le passé. Vous pouvez fouiller dans les archives de
mon blog pour plus de détails.
Que doit-on penser des représentants des médias et de leur travail?
Prager
U propose un court vidéo qui résume très bien ce qui se passe en
présentant trois facteurs qui expliquent pourquoi nous ne pouvons
pas faire confiance aux médias de masse :
Voici une traduction pour ceux et celles qui ne comprennent pas
l’anglais :
« Trois facteurs qui font en sorte que les médias de masse ne
sont pas dignes de notre confiance :
-
Les journalistes ne séparent plus les nouvelles (on peut ici dire « faits ») des opinions.
-
Les journalistes traitent les politiciens différemment, selon leurs croyances politiques personnelles.
-
Les journalistes sont devenus des outils des politiciens en faisant des faveurs pour obtenir des histoires. »
Je demeure fermement convaincu que si les médias accomplissaient
leur travail correctement, en présentant uniquement des faits, et
non des opinions, de même qu’en donnant à tous un droit de parole
équitable, en traitant objectivement des situation et en laissant le
public se faire une idée, la situation politique serait fort
différente.
On peut toujours rêver!
Non, mais ça’s peut-tu? Lâchez-la donc. Ce que vous faites là, à Johanne Fournier, on appelle ça de l’acharnement. Non, mais, la connaissez-vous personnellement assumer toutes ces choses sur elle? Êtes-vous réellement assez proche d’elle pour connaître sa personnalité et dire qu’elle est sensationnaliste, vipère, mensongère ou autres conneries dans le genre. Et ne prenez pas Dominique Fortier. Tout ce qu’il a à vous dire ne sont que des mensonges ou des faits détournés de la réalité pour essayer de la rabaisser. Et je suppose que maintenant que PKP a dit toutes sortes de saloperies sur Le Soleil, vous allez vous en servir? Plutôt hypocrite vu comment vous adorez cracher sur le PQ en temps normaux. Ah, mais non, c’est sûr que dès qu’une information sert à notre cause, on met nos habitudes de côtés, hein? Quelle hypocrisie. D’ailleurs, ce que vous avez avec Pascal Bérubé, on appelle ça un trouble obsessif. La véritable vipère dans l’histoire, je crois que c’est plutôt notre tout sauf humble blogueur.
RépondreSupprimerJe pourrais même en ajouter sur les personnes ci-haut sans tomber dans la calomnie et la diffamation. Tout ce que j'exprime est basé sur des faits réels et vérifiables.
SupprimerFacile de vous exprimer comme vous le faites sous le couvert de l'anonymat, n'est-ce pas?