Proverbe/citation
du jour
«Nous ne sommes pas sur cette terre pour filtrer des boissons et
faire cuire des aliments, mais pour contribuer au perfectionnement de
notre âme.» -Sénèque
Le PQ multiplie les annonces, doit-on s'en étonner?
Avez-vous remarqué que le PQ multiplie les dépenses à crédit (Oups, je devrais dire "investissements" parce que c'est plus politiquement correct) à travers le Québec de ces temps-ci?
J'entends ce matin Dominic Maurais en parler durant son émission sur Radio X en multipliant les exemples, des millions annoncés pour la cimenterie de Port-Daniel (vous vous souvenez du fiasco de la Gaspésia?) aux améliorations d'un gymnase au fond de l'Estrie. Maurais commets un grand péché ce matin : il critique le ministre Pascal Bérubé. Je vous prédis qu'il va recevoir un appel du ministre, si ce n'est pas déjà fait...
Acheter le Québec à crédit, un vote à la fois, voici des captures d'écran du compte Twitter de Pascal Bérubé, et on ne voit ici que des images des 24 dernières heures...
Richard Martineau s'arrête aussi sur ce sujet ce matin, comparant comme l'opposition les actions du gouvernement Marois à celles de l'époque de Duplessis. Ce que les péquistes font présentement, c'est pire encore que ce qu'a fait l'Union Nationale. On achète des votes oui, mais ça va bien plus loin qu'un "Frigidaire" ou un bout d'asphalte dans un fond de rang! Combien de millions ajoute-t-on sur le fardeau des générations futures?
Si le PQ, tout comme le PLQ, agit ainsi, il y a une bonne raison à cela : c'est que cette stratégie marche!
Tant que les médias seront complaisants face aux politiciens, tant que notre système éducatif socialiste va brainwasher les générations montantes, le Québec ne pourra jamais avancer.
Avez-vous remarqué que le PQ multiplie les dépenses à crédit (Oups, je devrais dire "investissements" parce que c'est plus politiquement correct) à travers le Québec de ces temps-ci?
J'entends ce matin Dominic Maurais en parler durant son émission sur Radio X en multipliant les exemples, des millions annoncés pour la cimenterie de Port-Daniel (vous vous souvenez du fiasco de la Gaspésia?) aux améliorations d'un gymnase au fond de l'Estrie. Maurais commets un grand péché ce matin : il critique le ministre Pascal Bérubé. Je vous prédis qu'il va recevoir un appel du ministre, si ce n'est pas déjà fait...
Acheter le Québec à crédit, un vote à la fois, voici des captures d'écran du compte Twitter de Pascal Bérubé, et on ne voit ici que des images des 24 dernières heures...
Richard Martineau s'arrête aussi sur ce sujet ce matin, comparant comme l'opposition les actions du gouvernement Marois à celles de l'époque de Duplessis. Ce que les péquistes font présentement, c'est pire encore que ce qu'a fait l'Union Nationale. On achète des votes oui, mais ça va bien plus loin qu'un "Frigidaire" ou un bout d'asphalte dans un fond de rang! Combien de millions ajoute-t-on sur le fardeau des générations futures?
Si le PQ, tout comme le PLQ, agit ainsi, il y a une bonne raison à cela : c'est que cette stratégie marche!
Tant que les médias seront complaisants face aux politiciens, tant que notre système éducatif socialiste va brainwasher les générations montantes, le Québec ne pourra jamais avancer.
Un
enfant de six ans suspendu d'une école pour un sac de chips
Croyez-vous
possible qu'un enfant soit suspendu durant quatre jours d'une école
à cause d'un sac de chips??? Cela s'est produit récemment au
Royaume-Uni et je ne serais pas surpris d'entendre un jour une
histoire du genre au Québec!
Je
mettrais ma main dans le feu que les profs les plus extrémistes en
terme de contrôle alimentaire dans les écoles sont les mêmes qui
empêchent les petits gars de jouer aux Rois de la montagne lors des
récréation, et qui se tournent vite vers le Ritalin quand un enfant
les dérange trop en classe.
Ces mêmes
bien-pensants imposent aussi leur idéologie de gauche à nos enfants
et dénoncent « l'hypersexualisation » au lieu de
s'attaquer de front au problème bien plus inquiétant que représente
l'obésité chez les jeunes, comme si cinq repas du midi par semaine
peuvent régler le problème alors que 16 autres repas sont pris à
la maison!
Il y a de
cela trois ans, à la fin du mois de janvier, je me souviens avoir
pris connaissance de l'histoire d'un petit garçon d'une école
québécoise qu'on a exclu d'un tirage parce que sa maman avait mis
son sandwich dans un sac ziploc au lieu d'une boite de plastique
« écolo ». Le texte original est ici.
Riley Pearson et un sac de Mini Cheddars |
Riley
Pearson, un petit garçon de six ans, a été suspendu durant quatre
jours de la Colnbrook C of E Primary School lors que le personnel a
découvert un sac de « Mini Cheddars » dans son lunch.
Suite à
une rencontre avec le directeur Jeremy Meek, les parents du petit
Pearson ont reçu le 14 janvier dernier une lettre indiquant que
l'enfant serait suspendu du mercredi au lundi suivant, parce qu'il
enfreignant continuellement les règlements scolaires.
La lettre de suspension adressée aux parents de Riley |
L'école
a question a été soumise à des mesures spéciales en 2012 quand
des inspecteurs ont considéré qu'elle était inadéquate. On a
alors mis en place une politique relative à une saine alimentation.
Les parents ont alors été informés que le chocolat, les sucreries, les croustilles et les boissons gazeuses n'étaient désormais plus permises. Advenant une infraction, l'école fournirait un lunch qui serait ensuite facturé aux parents.
Les parents du petit garçon affirment qu'il mange de manière saine et équilibrée à la maison, qu'ils accepteraient une suspension si l'enfant se battait ou intimidait d'autres jeunes, mais qu'une suspension pour son lunch est incompréhensible.
On suspend de plus en plus de jeunes de l'école pour des raisons de plus en plus farfelues. Je ne serais pas étonné qu'on entende des histoires du genre ici au Québec plus vite que l'on ne pourrait le croire.
Les parents ont alors été informés que le chocolat, les sucreries, les croustilles et les boissons gazeuses n'étaient désormais plus permises. Advenant une infraction, l'école fournirait un lunch qui serait ensuite facturé aux parents.
Les parents du petit garçon affirment qu'il mange de manière saine et équilibrée à la maison, qu'ils accepteraient une suspension si l'enfant se battait ou intimidait d'autres jeunes, mais qu'une suspension pour son lunch est incompréhensible.
On suspend de plus en plus de jeunes de l'école pour des raisons de plus en plus farfelues. Je ne serais pas étonné qu'on entende des histoires du genre ici au Québec plus vite que l'on ne pourrait le croire.
Ici, ma fille ne veut plus manger à la collation car elle a peur de se faire chicaner! Elle a une prof dont l'amie est diététicienne alors elle c'est revêtis d'une mission de contrôle alimentaire à la collation. Prohibant les croustilles de riz, les pommes trempés dans le nutella mais mes permettant entre autre les froot loops. Ma fille adore les mélie-melos, les croustilles de riz.. mais refuse de manger des fruits en publique (a cause de ses dents je crois). Alors elle ne mange pas à la collation, commence a avoir mal a la tête, donc ne dine pas... Et voila, c'est qui les caves qui doivent consulter pour troubles alimentaires ? Pourtant ce serait si simple: L'école se mêle des affaires d'ÉCOLE: LE MENUE DE LA CAFÉ, COURS SUR L'ALIMENTATION et le PARENT s'occupe des affaires de la famille: LA BOITE A LUNCH DE SES ENFANTS! (ok! pour les allergies quand il y a vraiment des allergies à l'école mais pas plus! )
RépondreSupprimerLes écoles ne sont plus des lieux d'apprentissage, mais des centres d'endoctrinement....
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