Proverbe/citation
du jour
«Je vous souhaite à tous, à chacun d'entre vous, d'avoir votre
motif d'indignation. C'est précieux. Quand quelque chose vous
indigne, comme j'ai été indigné par le nazisme, alors on devient
militant, fort et engagé. On rejoint le courant de l'histoire et le
grand courant.» -Stéphane Hessel
Nationalisation du pétrole au Québec?
Pauline Marois doit faire une importante annonce cet après-midi et on croit qu'elle sera au sujet l'exploitation pétrolière au Québec. Pendant ce temps, les transactions boursières sont bloquées pour les trois compagnies détenant des droits sur Anticosti...
Se pourrait-il que Pauline mette en place des mesures pour la nationalisation de l'exploitation pétrolière au Québec?
Je pense au Vénézuela en ce moment... Quelques pas de plus vers une république de bananes au Québec?
Un putsch au sein du PQ dans Rimouski?
Le député péquiste de Rimouski, Irvin Pelletier, a annoncé ce matin qu'il quitte la vie politique et qu'il ne sera pas candidat aux prochaines élections provinciales.
Le député a invoqué le décès récent de ses deux frères et son âge (67 ans) pour expliquer sa décision. Il croit que le PQ a de bonnes chances de remporter les élections qui devraient être déclenchées bientôt, ce n'est donc pas le spectre de la défaite qui explique son geste.
Je demeure sous l'impression qu'un putsch, orchestré par de jeunes péquistes de Rimouski, serait l'explication la plus probable. Thomas Briand-Gionest, qui était un leader des Carrés rouges lors du Printemps érable, est le successeur le plus probable à Irvin Pelletier.
J'ai eu vent de rumeurs que des jeunes péquistes auraient "rempli la salle" lors de l'élection de l'exécutif de l'association péquiste dans Rimouski. Se pourrait-ils qu'ils aient orchestré le tout pour "tasser" Irvin Pelletier? Je n'en serais pas surpris...
Alain Dion, le président de l'association, a indiqué qu'une assemblée d'investiture aura lieu bientôt.
Ce même Alain Dion est, je crois bon de le souligner, un enseignant au cégep de Rimouski. J'ai déjà mentionné dans un billet de novembre dernier les nombreux liens entre le PQ et divers établissements scolaires dans l'Est du Québec. Les exemples de souverainistes qui évoluent dans le milieu éducatif sont nombreux. Rappelez-vous aussi que Jean-François Fortin, le député du Bloc québécois, était aussi enseignant au cégep...
Je me répète ici : je ne conteste pas le droit de monsieur Dion ou de quiconque de militer pour le PQ ou pour n'importe lequel autre parti politique, mais en quoi pouvons-nous avoir l'assurance que l'enseignement dispensé à nos jeunes n'est pas teinté, ne serait-ce qu'un tout petit peu, de l'idéologie souverainiste?
Le député péquiste de Rimouski, Irvin Pelletier, a annoncé ce matin qu'il quitte la vie politique et qu'il ne sera pas candidat aux prochaines élections provinciales.
Le député a invoqué le décès récent de ses deux frères et son âge (67 ans) pour expliquer sa décision. Il croit que le PQ a de bonnes chances de remporter les élections qui devraient être déclenchées bientôt, ce n'est donc pas le spectre de la défaite qui explique son geste.
Je demeure sous l'impression qu'un putsch, orchestré par de jeunes péquistes de Rimouski, serait l'explication la plus probable. Thomas Briand-Gionest, qui était un leader des Carrés rouges lors du Printemps érable, est le successeur le plus probable à Irvin Pelletier.
J'ai eu vent de rumeurs que des jeunes péquistes auraient "rempli la salle" lors de l'élection de l'exécutif de l'association péquiste dans Rimouski. Se pourrait-ils qu'ils aient orchestré le tout pour "tasser" Irvin Pelletier? Je n'en serais pas surpris...
Alain Dion et Irvin Pelletier (Paul Huot - Radio-Canada) |
Alain Dion, le président de l'association, a indiqué qu'une assemblée d'investiture aura lieu bientôt.
Ce même Alain Dion est, je crois bon de le souligner, un enseignant au cégep de Rimouski. J'ai déjà mentionné dans un billet de novembre dernier les nombreux liens entre le PQ et divers établissements scolaires dans l'Est du Québec. Les exemples de souverainistes qui évoluent dans le milieu éducatif sont nombreux. Rappelez-vous aussi que Jean-François Fortin, le député du Bloc québécois, était aussi enseignant au cégep...
Je me répète ici : je ne conteste pas le droit de monsieur Dion ou de quiconque de militer pour le PQ ou pour n'importe lequel autre parti politique, mais en quoi pouvons-nous avoir l'assurance que l'enseignement dispensé à nos jeunes n'est pas teinté, ne serait-ce qu'un tout petit peu, de l'idéologie souverainiste?
Un
groupe féministe anarcho-communiste à l'oeuvre dans la région de
Gaspé
Se
pourrait-il qu'un groupe féministe anarcho-communiste (appelez ça
comme vous voudrez) cherche à semer la pagaille dans la région de
Gaspé? Un groupe appelé le « Collectif
agité (des pêcheuses impolies) » a lancé des accusations
de racisme aux joueurs de la ligue d'improvisation locale durant une
partie récente, en publiant par la suite publier une lettre dont
vous retrouverez une copie tout au bas, celle-ci étant longue, j'ai
préféré la placé à la fin de ce billet.
Peu
d'informations sont disponibles sur ledit collectif, mais le symbole
qu'il utilise en dit long sur son appartenance : le poing levé
est un symbole anarcho-communiste,
et dans ce cas précis il est contenu par le symbole représentant la
féminité :
Voici
un aperçu de la fameuse lettre expédiée à la ligue
d'improvisation via Facebook :
Je
crois que ce groupe cherche à obtenir l'appui de diverses minorités
(gens de couleur, homosexuels) et même celui des femmes (d'où la
mention de sexisme) afin d'imposer son agenda à la collectivité.
Qui se cache derrière ce fameux collectif? J'ai jasé avec des
étudiants fréquentant le cégep de la Gaspésie et des Îles et on
m'a dit que ce n'est pas la première fois que des affiches
militantes y sont placardées sur les murs.
En fouillant un peu, notamment en consultant la liste des « amis
Facebook » du collectif (43 personnes!), on peut par contre se
faire rapidement une idée au sujet de ses membres.
Je serais porté à croire que les membres et sympathisants du « Collectif agité (des pêcheuses impolies) ne sont qu'un groupuscule composé de membres évoluant au sein de diverses organisations de gauche de la région de Gaspé, que ce soit au cégep, avec quelques membres au sein du personnel et de la clientèle étudiante, ainsi que dans d'autres groupes communautaires (comme les opposants à l'exploitation pétrolière) et peut-être même dans un parti politique comme Québec solidaire.
Les têtes dirigeants du groupe pourrait fort bien être originaires de la France également. En recherchant avec l'expression « collectif agité » sur Google, on tombe sur beaucoup de références à ce terme en provenance de l'Europe.
Je serais porté à croire que les membres et sympathisants du « Collectif agité (des pêcheuses impolies) ne sont qu'un groupuscule composé de membres évoluant au sein de diverses organisations de gauche de la région de Gaspé, que ce soit au cégep, avec quelques membres au sein du personnel et de la clientèle étudiante, ainsi que dans d'autres groupes communautaires (comme les opposants à l'exploitation pétrolière) et peut-être même dans un parti politique comme Québec solidaire.
Les têtes dirigeants du groupe pourrait fort bien être originaires de la France également. En recherchant avec l'expression « collectif agité » sur Google, on tombe sur beaucoup de références à ce terme en provenance de l'Europe.
Ce groupe semble entretenir des liens avec deux autres
« collectifs », celui des « Sorcières »
et celui des « Rebelles
Montréal », le second groupe semblant clairement militant,
comme en fait foi sa page d'accueil Facebook :
Je ne crois pas non plus que le « collectif » vise une
cible vraiment pertinente en s'attaquant de la sorte à une bande de
comédiens amateurs qui se réunissent dans le principal but d'avoir
du plaisir, et ce sans la moindre intention de blesser qui que ce
soit en pratiquant leur humour, qui même s'il peut parfois être un
peu douteux, ne semble pas déplaire au public qui assiste aux
parties.
À ce que je sache, une seule personne a crié « Raciste! »
dans la salle... Vous savez, quand on n'aime pas un style de musique
ou un certain film, personne ne nous oblige à l'écouter ou à aller
le voir! Simple n'est-ce pas? Les personnes impliquées au sein de la
ligue d'improvisation ne devraient même pas s'occuper de ce
« collectif » à mon humble avis. Jouer le jeu d'une
poignée de militantes radicales, c'est leur donner raison.
Le « Collectif agité » suit des stratégies propres aux
anarcho-communistes, des stratégies qui ont d'ailleurs été
utilisées lors du Printemps érable. Les membres du groupes (je crois qu'il s'agit uniquement d'une porte-parole ou d'une
dirigeante cachée) affirment agir de manière anonyme et
horizontale. J'ai plutôt l'impression qu'il s'agit de personnes trop
lâches et trop peureuses pour afficher publiquement leurs idées. À
ce que je sache, nous ne sommes pas au Québec sous une dictature et
ces personnes ne risquent pas la prison ou la mort en s'exprimant
ouvertement!
Une réplique du collectif sur la page de la ligue d'improvisation |
En gros, tout semble indiquer qu'on a affaire ici à un minuscule
groupe de radicales qui n'ont même pas le courage de s'afficher
ouvertement pour véhiculer leurs idées. Le meilleur geste à poser
à leur endroit est de les ignorer, elles ne méritent pas notre
attention!
*****
Voici finalement la lettre du « collectif agité »
affichée sur la
page Facebook de la ligue d'improvisation :
Lettre à la LIG Improvisation
Gaspé
Chèr-e-s joueurs, joueuses, chèr-e-s organisatrices, organisateurs et bénévoles,
Nous souhaitons vous faire part de nos préoccupations suite à l’inconfort ressenti au cours de plusieurs de vos matchs. Nous vous invitons à considérer cette lettre comme le regard critique d’une poignée d’individues ayant à cœur la pérennité de la LIG ainsi que l’égalité entre tout-e-s.
Notre malaise vient de stéréotypes sexistes, racistes et homophobes exprimés à travers certaines des improvisations. Nous ne souhaitons pas ici nous attarder sur vos choix de personnages. Nous comprenons le stress et la rapidité des jeux. Cependant, nous ne pouvons passer sous silence l’impact des choix faits dans la démarche d’improvisation.
L’humour n’est jamais un geste neutre. Il peut soit s’attaquer à une idée soit la renforcer. Par exemple, en tablant ad nauséam sur le rôle de la blonde niaiseuse, de la femme objet, de l’homosexuel maniéré, du noir sauvage ou primitif, on en vient à construire des représentations qui font office de vérité.
Vous êtes une vitrine pour les yeux des jeunes (et des moins jeunes) ; dans vos matchs d’impro, comme dans toute forme d’humour, c’est la société qui se reflète. Et cette société, nous la souhaitons égalitaire. Or nous avons constaté à plusieurs reprises que le type d’humour utilisé (celui dont il est question dans cette lettre), en plus d’être franchement vide, tablait sur des stéréotypes crasses et à certains moment carrément violents.
Nous avons relevé des thèmes précis.
➢ L’approche hétérosexiste et hétéronormée, où l’acte sexuel se réduit simplement à la pénétration dans un but de procréation entre un homme et une femme;
➢ Le fait d’imiter les caractéristiques physiques ou l’accent supposés (ou fabulés) d’une personne racisée dans un sketch dénonçant le racisme ou introduisant des personnages d’une ethnie différente;
➢ La réduction d’un individu à ses prérogatives sexuelles;
➢ La représentation des gais comme étant maniérés ou pourvus de qualités féminines;
➢ L’image récurrente de la séduction unidirectionnelle où la femme devient objet du choix de l’homme, en compétition avec les autres femmes.
En ridiculisant les personnes noires, en considérant les rapports hommes/femmes de manière hétérosexiste, en stéréotypant les relations homosexuelles, vous encouragez les croyances normatives, la reproduction des stéréotypes et donc des inégalités, et c’est extrêmement dommageable quand on sait que la majorité de votre public est constitué de jeunes en pleine construction de leur identité.
La dénonciation de l’homophobie, du sexisme, du racisme, doit absolument passer par d’autres biais que celui du ridicule. Dénoncer en imitant, c’est prendre part à cette violence.
Nous vous invitons donc à être vigilants. Oui, l’humour est une vertu indispensable et salvatrice. Oui, on peut rire de beaucoup de sujets. Mais pas à la manière de ces humoristes haineux qui justifieront leurs blagues sous couvert de la liberté d’expression.
Il arrive parfois que dans la salle, les rires se fassent plus gênés, voire même que vous vous fassiez huer. Ces moments sont presque invariablement liés à des jokes mal exprimées ou clairement sexistes/ racistes qui mettent le public mal à l’aise. Loin de nous l’idée de créer des chasses gardées de l’humour, des catégories de groupes ou d’individus dont on ne saurait traiter à travers le rire. Il est plutôt question de s’interroger sur le point de bascule entre le rire qui conforte les stéréotypes et les inégalités et celui qui les renverse.
Nous savons que ce n’est pas votre combat premier, mais s’il vous plait, faites en sorte de ne pas contribuer au problème. Même si ce n’est pas leur fonction première, les matchs d’improvisation restent une occasion formidable d’éducation populaire. Saisissez-la!
Voici quelques propositions que nous aimerions vous faire :
• proposer aux joueurs-euses une formation de sensibilisation aux attaques sexistes, homophobes et racistes ;
• Faire sanctionner par l’arbitre les sketchs bourrés de préjugés et de stéréotypes, qu’il soit le garant de l’intégrité de chaque contenu ;
• Créer une palette variée de personnages contre-stéréotypés
• Porter une attention particulière à ce type de jeu dans les pratiques/exercices en équipe ;
• Réfléchir à une manière de permettre au public d’exprimer son mécontentement face à une improvisation insultante. Cela peut par exemple se faire en lui remettant un carton rouge en complément du carton blanc/noir de vote pour les équipes. Le seul moyen dont le public dispose pour le moment est l’expression orale, qui peut être déstabilisante pour les joueurs-euses, ou l’abstention de vote, ce qui ne reflète pas l’intention sous-jacente.
Nous tenions à vous faire part de ces quelques réflexions pour la suite de la saison ; n’y voyez pas d’attaque personnelle, mais plutôt le billet réfléchi de spectatrices assidues qui prennent généralement du plaisir à vous voir évoluer le vendredi soir… et qui souhaitent voir les choses changer pour en prendre davantage !
Signé : Le Collectif agité des pêcheuses impolies
Chèr-e-s joueurs, joueuses, chèr-e-s organisatrices, organisateurs et bénévoles,
Nous souhaitons vous faire part de nos préoccupations suite à l’inconfort ressenti au cours de plusieurs de vos matchs. Nous vous invitons à considérer cette lettre comme le regard critique d’une poignée d’individues ayant à cœur la pérennité de la LIG ainsi que l’égalité entre tout-e-s.
Notre malaise vient de stéréotypes sexistes, racistes et homophobes exprimés à travers certaines des improvisations. Nous ne souhaitons pas ici nous attarder sur vos choix de personnages. Nous comprenons le stress et la rapidité des jeux. Cependant, nous ne pouvons passer sous silence l’impact des choix faits dans la démarche d’improvisation.
L’humour n’est jamais un geste neutre. Il peut soit s’attaquer à une idée soit la renforcer. Par exemple, en tablant ad nauséam sur le rôle de la blonde niaiseuse, de la femme objet, de l’homosexuel maniéré, du noir sauvage ou primitif, on en vient à construire des représentations qui font office de vérité.
Vous êtes une vitrine pour les yeux des jeunes (et des moins jeunes) ; dans vos matchs d’impro, comme dans toute forme d’humour, c’est la société qui se reflète. Et cette société, nous la souhaitons égalitaire. Or nous avons constaté à plusieurs reprises que le type d’humour utilisé (celui dont il est question dans cette lettre), en plus d’être franchement vide, tablait sur des stéréotypes crasses et à certains moment carrément violents.
Nous avons relevé des thèmes précis.
➢ L’approche hétérosexiste et hétéronormée, où l’acte sexuel se réduit simplement à la pénétration dans un but de procréation entre un homme et une femme;
➢ Le fait d’imiter les caractéristiques physiques ou l’accent supposés (ou fabulés) d’une personne racisée dans un sketch dénonçant le racisme ou introduisant des personnages d’une ethnie différente;
➢ La réduction d’un individu à ses prérogatives sexuelles;
➢ La représentation des gais comme étant maniérés ou pourvus de qualités féminines;
➢ L’image récurrente de la séduction unidirectionnelle où la femme devient objet du choix de l’homme, en compétition avec les autres femmes.
En ridiculisant les personnes noires, en considérant les rapports hommes/femmes de manière hétérosexiste, en stéréotypant les relations homosexuelles, vous encouragez les croyances normatives, la reproduction des stéréotypes et donc des inégalités, et c’est extrêmement dommageable quand on sait que la majorité de votre public est constitué de jeunes en pleine construction de leur identité.
La dénonciation de l’homophobie, du sexisme, du racisme, doit absolument passer par d’autres biais que celui du ridicule. Dénoncer en imitant, c’est prendre part à cette violence.
Nous vous invitons donc à être vigilants. Oui, l’humour est une vertu indispensable et salvatrice. Oui, on peut rire de beaucoup de sujets. Mais pas à la manière de ces humoristes haineux qui justifieront leurs blagues sous couvert de la liberté d’expression.
Il arrive parfois que dans la salle, les rires se fassent plus gênés, voire même que vous vous fassiez huer. Ces moments sont presque invariablement liés à des jokes mal exprimées ou clairement sexistes/ racistes qui mettent le public mal à l’aise. Loin de nous l’idée de créer des chasses gardées de l’humour, des catégories de groupes ou d’individus dont on ne saurait traiter à travers le rire. Il est plutôt question de s’interroger sur le point de bascule entre le rire qui conforte les stéréotypes et les inégalités et celui qui les renverse.
Nous savons que ce n’est pas votre combat premier, mais s’il vous plait, faites en sorte de ne pas contribuer au problème. Même si ce n’est pas leur fonction première, les matchs d’improvisation restent une occasion formidable d’éducation populaire. Saisissez-la!
Voici quelques propositions que nous aimerions vous faire :
• proposer aux joueurs-euses une formation de sensibilisation aux attaques sexistes, homophobes et racistes ;
• Faire sanctionner par l’arbitre les sketchs bourrés de préjugés et de stéréotypes, qu’il soit le garant de l’intégrité de chaque contenu ;
• Créer une palette variée de personnages contre-stéréotypés
• Porter une attention particulière à ce type de jeu dans les pratiques/exercices en équipe ;
• Réfléchir à une manière de permettre au public d’exprimer son mécontentement face à une improvisation insultante. Cela peut par exemple se faire en lui remettant un carton rouge en complément du carton blanc/noir de vote pour les équipes. Le seul moyen dont le public dispose pour le moment est l’expression orale, qui peut être déstabilisante pour les joueurs-euses, ou l’abstention de vote, ce qui ne reflète pas l’intention sous-jacente.
Nous tenions à vous faire part de ces quelques réflexions pour la suite de la saison ; n’y voyez pas d’attaque personnelle, mais plutôt le billet réfléchi de spectatrices assidues qui prennent généralement du plaisir à vous voir évoluer le vendredi soir… et qui souhaitent voir les choses changer pour en prendre davantage !
Signé : Le Collectif agité des pêcheuses impolies
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