Proverbe/citation
du jour
«La gestion d’une entreprise suppose que l’on ait un but et une
volonté de dévouement qui implique même un engagement émotionnel.»
-Harold Greneen
La présentation négative des armes à feu dans les médias
La Cour suprême du Canada a accepté, ce matin, d'entendre les arguments du Québec, qui conteste depuis deux ans la volonté d'Ottawa de détruire les données du registre des armes d'épaules.
Dans une nouvelle présentée sur le site de Radio-Canada, Est-du-Québec, on donne l'avis de divers intervenants sur le sujet :
Pourquoi donc, quand il est question d'armes à feu, on nous présente plus souvent qu'autrement une arme menaçante du style de celle au centre de l'image (un chargeur à grande capacité ou une arme de poing) alors que la majeure partie des armes qui circulent au Canada sont des armes de chasse qui ne correspondent pas du tout aux images projetées?
L'image accompagnant une nouvelle a un impact sur la personne qui la consulte. On a choisit ici de présenter ce qui semble être une carabine semi-automatique de calibre .22, le seul calibre pour lequel les chargeurs d'une capacité plus grande que cinq coups sont permis selon la réglementation actuelle.
L'arme semble aussi avoir un canon plus court que le 18,5 pouces réglementaire actuelle, mais n'est probablement ni prohibée, ni à autorisation restreinte, si la longueur totale minimale de l'arme respecte aussi les normes.
Le registre des armes d'épaule couvre les armes qui peuvent être achetée par tout détenteur de permis et qui servent à la chasse. La plupart de ces armes sont bien moins menaçantes que celle présentée ici.
Toutefois, on nous présente une arme légale qui a des airs d'arme d'assaut, du style AK47. Est-ce là une coïncidence?
J'ai l'impression que le personnel de Radio-Canada impliqué dans la production de cette nouvelle a volontairement choisi une arme "épeurante" pour illustrer la nouvelle.
De mémoire, je ne me souviens pas d'avoir entendu le moindre animateur ou journaliste de Radio-Canada parler en faveur du registre, et lors d'entrevues avec des supporteurs de la destruction du registre, on peut sentir un parti pris radio-canadien contre ceux-ci. Cela ne m'étonne pas, et vous?
Pour plus de détails :
http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2013/11/21/006-armes-est-du-quebec-opinion.shtml#
Rob Ford (Getty Images) |
J'aime
mieux un maire colon qui fume du crack, mais qui sait gérer sa ville, qu'un
maire « normal »
Je ne fais ici essentiellement que reprendre le contenu d'un billet
publié par Antagoniste.net. Nombreux sont les détracteurs de Rob
Ford, mais quoi qu'on puisse dire du maire de Toronto relativement à
sa vie privée, depuis son élection, il a :
- réduit les dépenses de la ville,
- équilibré tous ses budgets, et même dégager des surplus à quelques reprises,
- revu les généreuses conventions collectives de ses syndicats pour réduire les coûts et augmenter la productivité,
- privatisé certains services publics,
- remboursé une partie de la dette de la ville,
- créé des conditions économiques qui ont permis une réduction spectaculaire du taux de chômage à Toronto.
Le maire Ford donne aussi de son
temps à titre d'entraîneur d'une équipe de football dans un
quartier défavorisé, et ce même individu a coupé les lunches
offerts lors des réunions du conseil municipal pour réduire les
dépenses.
Rob Fort, aussi colon, saoulon et drogué qu'il puisse être, a
compris que la santé économique de sa ville passe par une coupure
des dépenses, une réduction du fardeau fiscal, un budget équilibré
et un remboursement de la dette.
Pourquoi tant de politiciens BCBG, bien éduqués, sont incapables de
faire la même chose que lui?
Je
regarde ce qui se passe dans la petite ville gaspésienne où
j'habite et si j'avais à choisir entre Rob Ford et la mairesse actuelle, je voterai sans
hésiter pour le «gros colon » pour assurer un meilleur avenir
à mon milieu!
Pour plus de détails :
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