mercredi 13 décembre 2017

Le 12 décembre 2017

Proverbe/citation du jour
«Qui dit un mensonge en dit cent.»-Proverbe français


Graffitis haineux à l’UQAM : un coup monté par des féministes radicales?
Radio-Canada présente aujourd’hui une nouvelle titrée «Des graffitis suscitent des craintes à l'UQAM»

Des femmes se disent inquiètes suite à l’apparition de graffitis à caractère haineux au cinquième étage du pavillon Thérèse-Casgrain, où se trouve le Département de philosophie, à la fin du mois de novembre. Des agents de sécurité et des caméras de surveillance ont été ajoutés depuis.

Les graffitis en question consistent en quoi? "Fuck you", "feminazie" et "conne avant tout" en sont des exemples. Tout cela est considéré comme des menaces? Il se dit bien pire que ça ailleurs et on n’en fait pas un cas…



Qui a assez de temps à perdre pour monter au 5e étage d'un édifice bourré de SJWs pour écrire de telles niaiseries sur des murs? Et même encore, si un twit sexiste a fait le coup, de là à crier au meurtre et craindre pour leur sécurité? En matière de menaces et de chantage, les militantes féministes de l’UQAM ne sont pas bien placées pour faire la morale aux autres.

Je me pose une question à ce sujet : Personne ne se demande si ce ne sont pas justement quelques militantes féministes qui ont écrit elles-mêmes sur les murs pour attirer l'attention?

Consultez la section des commentaires sur la nouvelle (en est-ce vraiment une qui vaut une telle couverture?) sur le site de Radio-Canada et vous allez constater que les dames outrées et les manginas criant au meurtre ne manquent pas.

Le simple fait de soulever la question entraîne une vague de messages dénonçant le "racisme","l'intolérance", la "misogynie", comme quoi, dès que l'on a le moindrement l'audace de se questionne, bien en dedans des limites de l'extrémisme, à propos d'un geste du genre, on devient un fasciste. Pourquoi n'en suis-je pas étonné? Tout cela se passe à l'UQAM? Cela me semble expliquer bien des choses…



Aucun moyen de le prouver hors de tout doute raisonnable, mais tout ça n'est probablement rien d'autre qu'un coup monté d'une couple de féministes radicales de la boîte qui veulent de l'attention.

Soyez assurés que si les coupables sont identifiés et qu'il s'agit de militantes féministes, la direction de l'université va garder le couvert sur l'histoire. Ce serait tout le contraire s'il en était autrement.

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