«Le bonheur est une joie secrète qui se vit comme en songe.»-Robert
Lalonde
« Le plus court conte de fées du monde » et le
mythe du « bon gars »
Il y a quelques jours, j'ai vu ce qui suit circuler sur Internet et
ça m'a fait rire un bon coup, alors je partage aujourd'hui avec
vous, en offrant aussi une traduction pour les personnes qui ne
comprennent pas l'anglais :
LE PLUS COURT CONTE DE FÉES DU MONDE
Il était une fois un gars qui a demandé à une fille :
« Veux-tu me marier? »
La fille a répondu : « Non! »
Et le gars vécu par la suite heureux jusqu'à la fin de ses
jours, se promenant en moto, allant pêcher et chasser, jouant au
golf, buvant de la bière et du scotch, ayant de l'argent en banque,
laissant le siège de la toilette levé et pétant comme bon lui
semblait quand il en avait envie.
FIN
Je m'y attendais : après la publication de cette image sur mon mur Facebook personnel, une "justicière sociale" m'a vite accusé d'être insignifiant, provocateur et "bouché d'esprit". La dame en question n'est vraiment pas le genre que je demanderais en mariage car il est clair que s'en suivrait une vie misérable si elle disait oui!
Cela me porte aussi à également m'arrêter au « mythe du bon
gars ».
On dit souvent que les femmes préfèrent les « bad boys »
et que le « bon gars » perd toujours. Ce n'est pas
toujours vrai car on peut mettre les bon gars dans deux catégories
distinctes et l'une des deux peut réussir beaucoup mieux que les bad
boys auprès de la gente féminine.
Les « bon gars » ont tous comme caractéristiques d'être
gentils, respectueux, attentifs aux besoins des autres. Certains bons
gars deviennent dépressifs et ont une vie de misère, alors que
d'autres sont heureux et réussissent. Qu'est-ce qui fait la
différence entre ces deux états?
La réponse est simple : le fait de faire passer ses besoins
personnels AVANT ou APRÈS ceux des autres.
Le bon gars qui voit à ses bonheur avant celui des autres n'est pas
obligatoirement un égoïste qui ne pense qu'à lui-même, et ce même
s'il se fera invariablement accuser d'être ainsi. En s'assurant de
son propre bien-être avant de voir à celui des autres, il crée des
conditions propices à sa réussite, autant sur les plans physique et
mental, que professionnel et social.
Le bon gars qui fait toujours passer les autres avant lui-même
risque de vivre tout le contraire.
Dans une société où tout joue contre lui, autant dans le milieu
scolaire qu'au travail, face au système de justice, un homme a tout
intérêt à d'abord s'assurer de son propre bonheur avant de voir à
celui des autres.
Le gars qui se fait dire « non » dans le conte de fées
ci-haut en est un bon exemple!
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