Proverbe/citation du jour
«Voir, entendre, toucher, sont des miracles et chaque partie et
chaque particule de moi-même est un miracle.»-Walt Whitman
De l'attention whorism à son meilleur, une fois de plus, lors des funérailles de Monseigneur Pierre-André Fournier
Les funérailles de l’Archevêque Pierre-André Fournier, ont été célébrées dimanche à Rimouski. L'église où s'est déroulée la cérémonie était pleine à craquer, un signe que l'homme d'église était apprécié de la population.
C'est malheureusement aussi l'occasion pour certains de pratique ce que l'on peut qualifier comme de l'"attention whorism".
Notez bien, dans le reportage de Radio-Canada sur le sujet, qui trouve une fois de plus le moyen de se pointer le nez, à la 55e seconde, alors qu'on donne la parole à Harold Lebel, le député péquiste de Rimouski, de même que bien positionné, à l'arrière, à 1 minute 7 secondes, pour apparaître à la caméra alors que Guy Caron, du NPD, parle de Monseigneur Fournier. Voici deux captures d'écran du reportage :
De l'attention whorism à son meilleur, une fois de plus...
Zubaida Hasan et un miracle de la médecine moderne
Une note positive en ce lundi, pour « changer le mal de
place ». Je souhaite vous faire connaître Zubaida Hasan et un
miracle de la médecine moderne.
Zubaida Hasan est une dame afghane qui a été horriblement défigurée
à l'âge de neuf ans, en août 2001. Dans son cas, il ne s'agit pas
d'un « crime d'honneur », mais d'un bête accident :
elle a été gravement brûlée en mettant du carburant dans un
réchaud.
Dans un hôpital local, on a mis de l'onguent sur les brûlures qui
couvraient son visage, ses bras, et une partie de son corps. Ses
blessures étaient si graves que ses parents l'ont ensuite amenée en
Iran, où les médecins ont dit qu'elle ne survivrait pas, mais elle
a tenu le coup, étant toutefois dévisagée au plus haut point,
comme en témoigne la photo suivante :
Zubaida pouvait à peine fermer ses yeux, ne pouvait plus fermer sa
bouche, et elle pouvait difficilement bouger ses bras. Ses blessures
n'étaient pas que physiques, imaginez l'impact psychologique...
En février 2002, des marchands
locaux ont suggéré au père de Zubaida de demander l'aide des
Américains pour soigner sa fille. Le gouvernement américain a
communiqué avec le docteur Peter Grossman, d'un centre médical
californien. La « Children's Burn Foundation », une
organisation charitable également située en Californie, a permis à
la jeune brûlée de se rendre aux États-Unis pour être soignée.
La jeune fille a subi des dizaines
d'opérations de greffes de peau, des injections de stéroides
destinées à assouplir sa peau là où il était possible de le
faire. En plus de subir les souffrances médicales, elle se
retrouvait à des milliers de kilomètres de chez elle, dans un
milieu aux antipodes de son pays natal. Le docteur Grossman et sa
famille ont hébergé la jeune malade afin de rendre son épreuve
plus tolérable.
Zubaida n'avait jamais fréquenté
une école, mais elle s'y est adapté, en réussissant à apprendre à
parler anglais en trois mois.
Le résultat des
opérations? Ils sont
incroyables :
Plus de détails ici.
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