Proverbe/citation
du jour
«Nos mères sont nos enfants et nous voulons que nos enfants soient
nos mères.» -Natalie Clifford Barney
Pauline Marois meilleure maman de l'année???
Dans un concours "Maman de l'année" organisé par la chaîne Walmart, Pauline Marois voit sa candidature proposée par un dénommé Martin-Thomas Côté, avec comme description : "Elle a à coeur le bonheur de 8 millions de québécois. Avec maman Pauline, le non n'est pas une option, elle vous donne tout ce que vous désirez si vous cassez tout! Elle n'est jamais assez généreuse envers ses ami(e)s, elle s'assure de leur trouver un emploi dans la fonction publique! "
On indique aussi que la cause ou l'organisme de bienfaisance important aux yeux de Pauline est : La dette du Québec.
Il est clair que cette nomination est sarcastique... Walmart va probablement retirer cette page bientôt!
Pour ma part, si j'avais à soumettre la candidature de Pauline dans un concours, ce serait à titre de meilleure sosie de la Castafiore :
Pour plus de détails :
http://www.mamandelannee.ca/maman/?mom_id=21648
Et
si c'était une élève portant un voile au lieu d'un chandail des
Sénateurs?
Keila Penner - Facebook |
Alors que tant de lologues nous chantent que le système éducatif du Québec est laïc et qu'on y communique aux élèves des valeurs comme la tolérance et la liberté, une histoire impliquant une jeune fan d'une équipe de hockey nous rappelle qu'en fait, notre système scolaire prône le conformisme en obligeant ceux qui ne penchent pas du côté de la majorité à se soumettre.
Je lis ce matin un article du Journal de Québec rapportant qu'une jeune fille de Lachine de 11 ans supportant les Sénateurs d'Ottawa s'est fait convoquer par la direction de son école mardi dernier, alors que les élèves avaient la possibilité de porter les couleurs de leur équipe préférée au début de la série Montréal-Ottawa.
Je lis ce matin un article du Journal de Québec rapportant qu'une jeune fille de Lachine de 11 ans supportant les Sénateurs d'Ottawa s'est fait convoquer par la direction de son école mardi dernier, alors que les élèves avaient la possibilité de porter les couleurs de leur équipe préférée au début de la série Montréal-Ottawa.
Après avoir été victime des railleries d'autres jeunes portant,
vous le devinez, les couleurs des Canadiens de Montréal, la jeune
Keila Penner s'est fait donner le choix suivant :
- appeler son père et retourner à la maison
- enlever son chandail et le remplacer par un t-shirt blanc
- porter un chandail du tricolore
Keila a appelé son père et quitté l'école pour passer le reste de
la journée à la maison.
L'histoire a eu un heureux déroulement pour la jeune fille, car
informé de l'histoire, Eugene Melnyk, le propriétaire des
Sénateurs, a réservé un traitement de choix à celle-ci. La
famille Penner a pu se rendre à Ottawa en limousine pour la partie
de mardi et assister à la rencontre dans la loge du propriétaire,
la Keila a également reçu un chandail autographié par les membres
de l'équipe.
Interrogé par la presse, le père de la supportrice des Sénateurs a
dit : «Je veux que ma fille se tienne debout pour ce qu’elle
croit. Elle était heureuse de pouvoir porter les couleurs de son
équipe avec fierté, comme tous les autres enfants de l’école
pouvaient le faire.»
Pour
sa part, l’administration de l’école a indiqué qu’elle
avait agi dans les «meilleurs intérêts» de l’enfant.
Il est clair que la direction a oublié une des
ses missions, celle d’enseigner la liberté de choix aux élèves.
Demandez-vous finalement ceci : s'il avait été question d'un enfant portant un symbole religieux d'une minorité, que ce soit un voile ou un kirpan, croyez-vous qu'on aurait donné à l'enfant l'option de retourner à la maison???
Keila Penner et son chandail autographié - CTV News |
Demandez-vous finalement ceci : s'il avait été question d'un enfant portant un symbole religieux d'une minorité, que ce soit un voile ou un kirpan, croyez-vous qu'on aurait donné à l'enfant l'option de retourner à la maison???
Pour plus de détails :
15
erreurs que vous faites comme mère
En consultant la section « Style de vie » du site MSN,
j'ai découvert un diaporama donnant une série de 15 erreurs
commises par une mère dans l'éducation de ses enfants. En vivant la
perfection et en voulant protéger nos enfants, nous leur nuisons
bien plus que nous les aidons, et ces conseils concernent tout autant
les pères. Je vous en propose un résumé en ce jour.
1. Se croire irremplaçable : Votre rôle en tant que mère, et ce
dès la naissance de votre enfant, est de faire en sorte qu’il
n’ait plus besoin de vous. Vous devez le rendre autonome et,
surtout, accepter de le laisser aller vers les autres.
2. Oublier son instinct : Cessez de ne pas vous faire confiance! Il
est inutile de demander l’avis des autres avant de prendre telle ou
telle décision. Ne vous fiez pas à tout ce qui est écrit dans les
livres pour modeler votre bonheur familial sur celui qu’on y
présente.
3. Penser qu’on fait tout mieux que tout le monde : Si vous passez derrière votre conjoint parce qu'il n’a pas plié le linge comme vous le faites, si vous n'êtes pas satisfaite de la façon dont le bain est lavé par votre ado, si vous ridiculisez les efforts de votre fils quand il essaie de faire le souper, c’est que vous vous croyez meilleure qu’eux... et ils finiront par tout vous laisser faire seule. Acceptez que les choses ne soient pas toujours faites à votre manière. Cessez de vouloir tout contrôler.
4. Comparer ses enfants avec ceux des autres : Vos enfants ne seront jamais comme ceux des voisins. Chaque enfant est unique et développe ses propres talents. Il faut apprendre à doser nos compliments... mais pas nos encouragements!
5. Avoir des rêves qui ne sont pas les leurs... et leur faire subir : C’est malsain de vouloir imposer nos rêves à nos enfants. Le font-ils pour eux ou simplement pour vous faire plaisir?
6. Mettre la barre trop haute : Viser la perfection –pour soi ou pour ses enfants– est la meilleure façon de vivre des déceptions et des frustrations en boucle. En plus, on met inutilement de la pression sur les enfants. On établit des cadres, des tâches à faire et des règles, mais on laisse les autres faire à leur façon. Après tout, l'important, c'est que ce soit fait!
7. Être l’amie de ses enfants : Vos enfants auront des tas d’amis, mais une mère, ils n’en auront qu’une. Ils ont besoin qu’elle les encadre, les surveille, les sermonne, les protège, les chicane et les aime... comme une mère, quoi!
8. Prendre son chum pour un idiot : Notre chum ne fait pas tout comme nous? Il ne prévoit pas tout à la seconde près? Tant pis, il se débrouillera quand même. On devrait plutôt être contente qu’il s’occupe, à sa façon, de ses enfants (parce que ce sont aussi les siens!).
9. Avoir une to-do list quotidienne ultra longue : La vie n’est pas qu’une to-do list ou un interminable enchaînement de tâches et des responsabilités. Relaxez! Décompressez! Décoinçez-vous! Réinjectez de la spontanéité dans vos journées et de la flexibilité dans vos horaires.
10. Être une freak du ménage : La propreté est-elle une fixation? Les enfants s’amusent alors vous en profitez pour laver le plancher. Ils font une sieste, vous lavez les fenêtres. On se calme! Pendant les siestes des enfants : on s’occupe de soi (manucure, un long bain, lecture, sieste, etc.). Et on adopte un nouveau crédo: «Désolée pour les traîneries, mais on vit ici!»
11. Croire que les autres savent ce qui est bon pour ses enfants : Vous n’avez pas à vous sentir mal de ne pas écouter les conseils de votre voisine ou votre belle-mère. Elles vous assaillent? Pas de problème : faites semblant de les écouter tout en hochant la tête et en répétant, mentalement: « Je ferai bien ce que je voudrai. C’est mon enfant. C’est moi la mère! ».
12. Donner trop de choix aux enfants : Donner des choix est un art. Pour que les enfants fassent ce qu'on attend d'eux, on peut user de stratégie. Par exemple : « Tu veux commencer par te brosser les dents ou prendre ton bain?» ou «Tu veux prendre ta douche avant ou après le souper?». Mais il vient un temps où on doit arrêter de leur donner des choix, car il ne faut pas faire croire aux enfants que c’est toujours à eux de décider. Eh non! Ce sont les parents qui tranchent dans la vie!
13. Faire tout à la place de ses enfants : On n'aide pas ses enfants à devenir plus autonomes si on fait tout à leur place, car on les rend paresseux. Surprotéger ses enfants n’est également pas souhaitable. Parfois, on travaille très fort pour leur éviter les moindres frustrations et les moindres peines plutôt que de leur apprendre à les gérer.
14. Avoir peur de faire des erreurs : Il n’y a rien de pire que de se fier aux études scientifiques et suivre les conseils des pseudo-experts en tout genre : on finit par avoir peur de poser un geste sans les consulter d'abord. On vit dans la crainte constante de faire une erreur. Pourtant, se tromper n’est pas dramatique et nos enfants n’en souffriront pas.
15. Ne jamais demander de l’aide : Pour certaines mères, il y a une certaine fierté à dire « Je n’ai jamais fait garder mes enfants!». C’est plutôt un signe que quelque chose cloche! On doit être capable de demander de l’aide. On a le droit de vouloir sortir seule sans notre enfant. Aussi, une certitude persiste : on sera toujours perdante à vouloir tout faire toute seule. On divise les tâches dans la maison, on retient les services d’une femme de ménage, on confie le déneigement ou l’ouverture/fermeture de la piscine à des professionnels, etc. On n’est pas Wonderwoman alors on délègue!
J'en retiens surtout les points 1, 3, 5, 6 et 13 en ce qui me
concerne, et vous?
Pour plus de détails :
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