Proverbe/citation du jour
"The only way to do great work is to love what you do."-Steve
Jobs
Est-ce que le fait de ne pas être souverainiste signifie
automatiquement qu'on a honte d'être québécois?
J'ai une bonne raison de rire en ce vendredi matin. Suite à mon
billet d'hier portant sur les « ti-counes nationaleux »,
j'ai reçu les deux commentaires qui suivent :
Gentil que je suis, je les ai publiés, et ce même si l'auteur n'est
rien de plus qu'un autre pissou qui n'est capable de rien d'autre que
de lancer des craques de manière anonyme. Enfin…
C'est là un autre point qui me fait rire des «ti-counes
nationaleux » : pour eux, si un francophone de souche
n'adhère par à leur projet, il est automatiquement un traître qui
a honte d'être québécois. Par leur mode de pensée, ils me
rappellent les « Pod People » du film « Invasion
of the Body Snatchers ».
Il y a des souverainistes qui me rappellent ceci! |
Je le répète encore : je suis libertarien. Je n'adhère pas
plus au fédéralisme qu'au souverainisme, parce que dans les deux
cas, on a affaire à un gouvernement centralisateur qui brime (à mon
avis en tout cas) nos libertés individuelles.
Amenez-moi demain matin un projet nationaliste québécois
constructif, méritant à mon avis d'être soutenu, parce qu'il
laisse plus de place aux libertés individuelles, et je pourrais bien
y prendre part. Par contre, si c'est celui de nos souveraineux
actuels, je passe mon tour, parce qu'à la base, leur projet est
celui d'une poignée d'illuminés qui se pensaient plus intelligent
que tous les autres et qui misaient sur le sentiment d'infériorité
caché du petit peuple pour gagner le pouvoir.
Concernant la « honte » d'être québécois qu'on me
reproche d'éprouver, mes ancêtres Beaulieu et Lepage ont eu le
courage de traverser un océan pour venir coloniser une terre hostile
et bâtir un avenir meilleur pour eux et leur descendance. Je crois
qu'en étant libertarien et en travaillant à l'amélioration de mon
milieu au meilleur de mes capacités, je leur rend le meilleur des
hommages. C'est là ce qui importe le plus à mes yeux.
Il serait bon de suggérer à ces messieurs, le livre "L'union Fatale" que l'ex-député péquiste Martin Lemay a écrit où comment l'union entre la gauche et les péquistes compromet l'indépendance du Québec. Il a donné une interview audio posté sur Radio-égo sur EDDNP(En direct de nulle part).
RépondreSupprimerCes propos sont rejoints par Jacques Brassard dans 2 billets qu'il a écrit titrés Le boulet et le PQ et le syndrome du hamster