Proverbe/citation du jour
«Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun
survit comme il peut.»-Proverbe chinois
Pascal Bérubé a-t-il encore envie de devenir chef du PQ?
Récemment, le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, a laissé savoir qu'il songeait à la possibilité de présenter sa candidature au poste de chef du Parti québécois. Bérubé a déclaré songer à présenter sa candidature si aucune autre ne le satisfait...
Le député de Matane-Matapédia calcule toujours soigneusement chacun de ses mouvements avant de les effectuer, afin d'éviter de se river le nez. Or, on apprend en ce samedi via un sondage publié dans Le Devoir que le PQ vit un creux historique :
Dans un tel contexte, je doute fort que Pascal Bérubé présente sa candidature, car depuis qu'il est devenu député, en mars 2007, jamais l'élu n'a pris le moindre risque de se mettre dans l'eau chaude, risquant ainsi de voir son image affectée.
Je prédis que Pascal Bérubé va continuer de jouer les seconds violons, et ce tant et aussi longtemps qu'il considérera que le contexte n'est pas propice pour qu'il soumette sa propre candidature.
Aussi, advenant le cas où le PQ en viendrait à disparaître, ne vous étonnez pas de le voir soudainement devenir un caquiste ou un solidaire convaincu, l'instinct de survie prenant le dessus, car en dehors du monde politique, que deviendrait Bérubé? Ce dernier n'a jamais occupé un "vrai emploi" de sa vie, mis à part peut-être un poste dans la lutte à la pauvreté dans la MRC de la Haute-Gaspésie, un poste qu'il a fort probablement choisi uniquement parce que cela lui permettait de vendre sa salade pour devenir député de Matane...
Récemment, le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, a laissé savoir qu'il songeait à la possibilité de présenter sa candidature au poste de chef du Parti québécois. Bérubé a déclaré songer à présenter sa candidature si aucune autre ne le satisfait...
Le député de Matane-Matapédia calcule toujours soigneusement chacun de ses mouvements avant de les effectuer, afin d'éviter de se river le nez. Or, on apprend en ce samedi via un sondage publié dans Le Devoir que le PQ vit un creux historique :
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/407985/sondage-leger-creux-historique-pour-le-pq |
Dans un tel contexte, je doute fort que Pascal Bérubé présente sa candidature, car depuis qu'il est devenu député, en mars 2007, jamais l'élu n'a pris le moindre risque de se mettre dans l'eau chaude, risquant ainsi de voir son image affectée.
Je prédis que Pascal Bérubé va continuer de jouer les seconds violons, et ce tant et aussi longtemps qu'il considérera que le contexte n'est pas propice pour qu'il soumette sa propre candidature.
Aussi, advenant le cas où le PQ en viendrait à disparaître, ne vous étonnez pas de le voir soudainement devenir un caquiste ou un solidaire convaincu, l'instinct de survie prenant le dessus, car en dehors du monde politique, que deviendrait Bérubé? Ce dernier n'a jamais occupé un "vrai emploi" de sa vie, mis à part peut-être un poste dans la lutte à la pauvreté dans la MRC de la Haute-Gaspésie, un poste qu'il a fort probablement choisi uniquement parce que cela lui permettait de vendre sa salade pour devenir député de Matane...
La meilleure solution à la pauvreté? UN EMPLOI!
Dans
un article publié dans L'Avantage, Guy Labonté, porte-parole
d’Action populaire Rimouski-Neigette, souligne que la « Semaine
des personnes assistées sociales » se déroule jusqu'au 11 mai
prochain.
Je souligne ses paroles et celles d'une autre personne interrogée :
« Les personnes assistées sociales veulent aussi du
travail, un logement et du pain sur la table. Avec toutes les hausses
de tarifs, les sans-emploi souffrent de plus en plus de faim. Il y
aussi de plus en plus d’itinérance. C’est vraiment pas aidant
pour se trouver un emploi quand tu es dans la rue ou quand tu as un
logement, mais pas assez d’argent pour prendre le bus ou avoir le
téléphone », ajoutent Guy Labonté et Michel-Gilles Paradis,
porte-parole d’Action populaire. »
Ah oui? Trouvez-moi cinq personnes qui crèvent réellement de faim
dans l'Est-du-Québec en 2014, bonne chance! Connaissez-vous beaucoup d'individus dans la même situation que le pauvre petit diable ici bas? Celui-ci mérite d'être aidé!
Qu'une personne handicapée, inapte au travail, touche du BES, je
n'ai rien contre. Je crois même qu'on devrait à la place lui faire
toucher. Idem pour une personne qui vit une mauvaise passe et qui
doit temporairement faire appel à ce moyen de subsistance, ou bien
parce qu'elle a des personnes à charge et qu'il vaut mieux qu'elle
demeure à la maison pour elles.
Par contre, je répète ici ce que j'ai dit et écrit à maintes
reprises dans le passé, il n'est tout simplement pas normal qu'une
personne qui a ses dix doigts, ses dix orteils et un minimum de
jarnigouène, sans empêchement valable à l'emploi, vive toute sa
vie sur le BES! Combien font du BES un mode de vie alors qu'ils
seraient capables de travailler, mais choisissent la facilité?
La meilleure solution à la pauvreté? UN EMPLOI.
Documentaire du jour : « Ray Mears' Extreme Survival
S03E03 - Alaska »
Dans cet épisode d'une série documentaire, Ray
Mears présente plusieurs trucs pour survivre dans un milieu
hostile qui rappelle les montagnes de la Gaspésie et le Nord du
Québec : l'Alaska.
On y apprend l'histoire d'un pilote de brousse qui s'est écrasé en
se posant sur un lac, et celle des passagers et de l'équipage du SS
Farallon, un bateau qui s'est échoué le 5 janvier 1910,
obligeant les naufragés à survivre avec peu dans un milieu hostile.
J'en retiens trois trucs
intéressants : d'abord comment fabriquer un hameçon d'urgence,
ensuite comment faire cuire un saumon sur un feu, mais aussi comment
allumer un feu avec l'aide d'un couteau, d'un outil pour produire des
étincelles, et de la mousse qui pend aux arbres et qui me rappelle
la fameuse « barbe » pendant dans les arbres dont se
nourrissent notamment les caribous au mont Jacques-Cartier.
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