Proverbe/citation
du jour
«Le temps est un gaspillage d'argent. »-Oscar Wilde
Pascal
Bérubé perd son temps sur Internet À VOS FRAIS
Avez-vous idée de ce que nous coûte chaque année, en salaire, un
député provincial? Selon
les informations disponibles sur le site de l'Assemblée nationale,
le salaire de base d'un élu est de 90 850$, et on parle ici du
salaire de base, sans prendre en considération les autres fonctions
que celui-ci peut occuper.
Pascal Bérubé est le premier à parler de l'ampleur de son travail
à titre de député, dans une circonscription comptant 45 villes et
villages. Or, s'il est si occupé, comment peut-il passer autant de
temps sur Internet?
Hier, je soulignais le fait qu'il lançait dans son
compte Facebook de député que le maire de Matane Jérôme
Landry devrait se préoccuper du fait que la ville de Matane est mal
classée dans un site pour célibataires :
En plus de cela, le député a eu un « Tweet Fight » avec
un blogueur/chroniqueur au Journal de Québec, Mario
Asselin, à propos de ses allégeances caquistes :
Si Mario Asselin était péquiste, Bérubé le critiquerait-il de la
sorte?
Hier soir, j'ai lu, toujours sur le compte Facebook de Pascal Bérubé
député, une annonce concernant l'ouverture
d'un restaurant Dixie Lee dans la région de Québec :
Le député annonce aussi la présence d'un lièvre près de sa résidence :
Ajoutez à cela une annonce récente où le député présente une
photo avec un aîné de 97 ans dans une résidence pour personnes
âgées :
On ne devrait pas plus permettre à un politicien de se pointer chez
des personnes âgées en perte d'autonomie que dans les classes
d'enfants qui ne sont pas encore assez vieux pour voter, si vous
voulez mon avis!
Croyez-vous qu'un patron tolérerait qu'un de ses employés passe son
temps sur Internet sur ses heures de travail? VOUS êtes l'employeur
de Pascal Bérubé, VOUS n'avez pas à tolérer qu'il perde son temps
de la sorte, vu ses responsabilités, et c'est à VOUS de lui faire
savoir votre façon de penser!
Le
PQ tient un débat à Rimouski en fin de semaine. Lors du passage
de PKP à Cap-Chat, en janvier dernier, je me suis retrouvé sous une
surveillance policière de la SQ. Je suppose que le principal
concerné par l'histoire de mon congédiement de CJMC en novembre
2011 est derrière cette filature.
Lorsque les deux agents de la SQ m'ont intercepté dans le
stationnement de Valmont plein-air, je leur ai dit que je trouverais
bien un autre moyen, pacifique, de faire parvenir en main propre une
copie du document que je voulais remettre à PKP alors. J'irai
peut-être à Rimouski pour ce faire en fin de semaine. Il reste à
voir si une fois encore, quelqu'un va utiliser la SQ pour tenter de
m'intimider, mais vous pouvez avoir l'assurance chers lecteurs que si
je procède, j'irai sur place « armé » d'un jugement en
papier, et que je ne me dénuderai pas comme une Femen!
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