"Surveille
tes pensées, car elles deviennent tes mots. Surveille tes mots, car
ils deviennent tes actions. Surveille tes actions, car elles
deviennent tes habitudes. Surveille tes habitudes, car elles
deviennent ton caractère. Surveille ton caractère, car il devient
ton destin. Mais n’oublions surtout pas qu’hier est de l’histoire
ancienne, demain est un mystère et aujourd’hui est un cadeau!"
-Anonyme
Cinq
gosses à nourrir
En publiant sur mon mur Facebook jeudi dernier l'image suivante j'ai
eu droit à des critiques plus qu'à l'habitude :
J'ai
accompagné cette image du texte : «Ça nous
rappelle que les gens qui ont le plus d'enfants au Québec sont
souvent les gens qui devraient le moins en avoir! »
En gros, un type qui quête de l'argent en disant vouloir nourrir ses cinq enfants se fait balancer un condom, ce qui veut dire : "Cesse d'en avoir alors!"
Que
devez-vous en tirer comme conclusion?
Je me
permets simplement ici de faire une mise au point relative à ce
blog. Vous savez, je ne me cache pas du tout du fait que j'aime
beurrer épais par bouts, et que ce blog contient parfois des points
de vue qui choquent, mais sur le fond, je souhaite qu'il garde une
optique positive.
Certaines personnes
n'ont pas aimé mon commentaire, clamant que je suis dégradant à
l'endroit de femmes ayant plusieurs enfants. FAUX!
Je
connais des gens qui ont plusieurs enfants mais qui prennent grand
soin d'eux, et d'autres qui n'en ont qu'un seul mais qui n'en
prennent pas soin du tout.
PAR
CONTRE, en affirmant que dans notre société, les gens qui ont le
plus d'enfants sont ceux qui devraient le moins en avoir », je
pense à tellement d'enfants qui ont des parents davantage motivés
pas un chèque de BES plus gros ou bien l'obligation pour le père de
demeurer dans la maisonnée à cause des enfants (sans pour autant
oublier l'idée que les pères irresponsables sont également
nombreux!)
La morale
à en tirer? J'ose espérer que vous en prenez jamais au pied de la
lettre ce que vous lisez ici. Je crois que mes lecteurs sont assez
intelligents pour faire la part des choses et de savoir où tracer la
limite quand ils lisent mes textes.
Dans le
pire des cas, vous avez toujours la possibilité d'émettre un
commentaire ou de me rejoindre via courriel!
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