vendredi 9 mai 2014

Sujets du 10 mai 2014

Proverbe/citation du jour
«Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.»-Proverbe chinois


Le Québec n'est pas si différent de Mars ou de la Lune après tout...




Pascal Bérubé a-t-il encore envie de devenir chef du PQ?
Récemment, le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, a laissé savoir qu'il songeait à la possibilité de présenter sa candidature au poste de chef du Parti québécois. Bérubé a déclaré songer à présenter sa candidature si aucune autre ne le satisfait...

Le député de Matane-Matapédia calcule toujours soigneusement chacun de ses mouvements avant de les effectuer, afin d'éviter de se river le nez. Or, on apprend en ce samedi via un sondage publié dans Le Devoir que le PQ vit un creux historique :

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/407985/sondage-leger-creux-historique-pour-le-pq

Dans un tel contexte, je doute fort que Pascal Bérubé présente sa candidature, car depuis qu'il est devenu député, en mars 2007, jamais l'élu n'a pris le moindre risque de se mettre dans l'eau chaude, risquant ainsi de voir son image affectée.

Je prédis que Pascal Bérubé va continuer de jouer les seconds violons, et ce tant et aussi longtemps qu'il considérera que le contexte n'est pas propice pour qu'il soumette sa propre candidature.

Aussi, advenant le cas où le PQ en viendrait à disparaître, ne vous étonnez pas de le voir soudainement devenir un caquiste ou un solidaire convaincu, l'instinct de survie prenant le dessus, car en dehors du monde politique, que deviendrait Bérubé? Ce dernier n'a jamais occupé un "vrai emploi" de sa vie, mis à part peut-être un poste dans la lutte à la pauvreté dans la MRC de la Haute-Gaspésie, un poste qu'il a fort probablement choisi uniquement parce que cela lui permettait de vendre sa salade pour devenir député de Matane...






La meilleure solution à la pauvreté? UN EMPLOI!
Dans un article publié dans L'Avantage, Guy Labonté, porte-parole d’Action populaire Rimouski-Neigette, souligne que la « Semaine des personnes assistées sociales » se déroule jusqu'au 11 mai prochain.

Je souligne ses paroles et celles d'une autre personne interrogée :

« Les personnes assistées sociales veulent aussi du travail, un logement et du pain sur la table. Avec toutes les hausses de tarifs, les sans-emploi souffrent de plus en plus de faim. Il y aussi de plus en plus d’itinérance. C’est vraiment pas aidant pour se trouver un emploi quand tu es dans la rue ou quand tu as un logement, mais pas assez d’argent pour prendre le bus ou avoir le téléphone », ajoutent Guy Labonté et Michel-Gilles Paradis, porte-parole d’Action populaire. »

Ah oui? Trouvez-moi cinq personnes qui crèvent réellement de faim dans l'Est-du-Québec en 2014, bonne chance! Connaissez-vous beaucoup d'individus dans la même situation que le pauvre petit diable ici bas? Celui-ci mérite d'être aidé!


Qu'une personne handicapée, inapte au travail, touche du BES, je n'ai rien contre. Je crois même qu'on devrait à la place lui faire toucher. Idem pour une personne qui vit une mauvaise passe et qui doit temporairement faire appel à ce moyen de subsistance, ou bien parce qu'elle a des personnes à charge et qu'il vaut mieux qu'elle demeure à la maison pour elles.

Par contre, je répète ici ce que j'ai dit et écrit à maintes reprises dans le passé, il n'est tout simplement pas normal qu'une personne qui a ses dix doigts, ses dix orteils et un minimum de jarnigouène, sans empêchement valable à l'emploi, vive toute sa vie sur le BES! Combien font du BES un mode de vie alors qu'ils seraient capables de travailler, mais choisissent la facilité?

La meilleure solution à la pauvreté? UN EMPLOI.


Documentaire du jour : « Ray Mears' Extreme Survival S03E03 - Alaska »
Dans cet épisode d'une série documentaire, Ray Mears présente plusieurs trucs pour survivre dans un milieu hostile qui rappelle les montagnes de la Gaspésie et le Nord du Québec : l'Alaska.

On y apprend l'histoire d'un pilote de brousse qui s'est écrasé en se posant sur un lac, et celle des passagers et de l'équipage du SS Farallon, un bateau qui s'est échoué le 5 janvier 1910, obligeant les naufragés à survivre avec peu dans un milieu hostile.

J'en retiens trois trucs intéressants : d'abord comment fabriquer un hameçon d'urgence, ensuite comment faire cuire un saumon sur un feu, mais aussi comment allumer un feu avec l'aide d'un couteau, d'un outil pour produire des étincelles, et de la mousse qui pend aux arbres et qui me rappelle la fameuse « barbe » pendant dans les arbres dont se nourrissent notamment les caribous au mont Jacques-Cartier.

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